Dharma, pourquoi, raison d’être : 3 approches pour préciser sa mission de vie

J’ai rencontré Olivia Nova début 2023, alors que j’étais sur la route au Portugal, en train de réaliser la première édition du défi 777. A l’époque, par une combinaison de plusieurs facteurs, j’étais en plein questionnement sur la notion de mission de vie.

Olivia est coach spécialisée dans le subconscient. Son travail consiste à comprendre de quelle manière le subconscient influence notre vie quotidienne. Elle avait spontanément pris contact avec moi pour échanger et nous nous sommes trouvées de nombreux points communs. Cela tombait à point nommé car nos échanges m’ont énormément aidée à avancer sur mes questionnements du moment…

Dans cet article, je partagerai mes réflexions et recherches de cette période, complétées par les précieux apports d’Olivia, pour nourrir ta réflexion si toi aussi tu es en recherche de ta mission de vie (ou de ton pourquoi, ou de ton dharma, selon la façon dont tu l’appelles).

📝 Temps de lecture : 18 minutes.

Trouver sa mission de vie : trois façons complémentaires de voir les choses

Le concept de « mission de vie » n’est pas forcément facile à appréhender et peut même faire un peu peur. Je me suis beaucoup demandée comment appeler cette sorte de mouvement, qui vient de l’intérieur, qui nous pousse à avancer dans une certaine direction, qui fait que l’on se sent vivant en faisant certaines choses, qui nous indique – parfois contre notre gré – une voie à suivre…

En réalité, il est normal d’avoir du mal à poser des mots sur sa « mission de vie ». Comme le dit Simon Sinek dont on va reparler un peu plus bas, elle se trouve dans une partie du cerveau qui ne gère pas le langage. Pour la trouver, il va donc falloir aller au-delà des mots et comprendre ce qui constitue notre motivation intrinsèque.

Mais avant cela, essayons de mieux cerner ce qu’on entend par « mission de vie », grâce à 3 points de vue complémentaires. Tu peux totalement approfondir chacun d’eux mais l’idée est ici simplement d’ouvrir des pistes de réflexion.

La notion de Dharma en ayurveda

Début 2023, je lançais le défi 777 pour la première fois. Cela m’a poussée à explorer plus profondément la notion de Dharma, ce qu’elle signifie en ayurveda et surtout à m’interroger sur ce qu’elle représente pour moi.

Pour faire très court, le Dharma est un terme qu’on utilise pour dire “c’est ce pour quoi je suis fait”, c’est mon Dharma. La loi du Dharma nous dit que nous nous sommes tous incarnés sur Terre pour une raison spécifique, pour accomplir ou pour expérimenter quelque chose. Elle nous relie profondément à notre nature spirituelle.

💡 Selon les enseignements de l’ayurveda, nous sommes avant tout des êtres spirituels qui sont venus s’incarner dans la matière pour une raison précise, pour vivre une expérience précise.

Il nous appartient de découvrir cette raison. Nous avons tous un talent unique, qui n’appartiennent qu’à nous, parce que nous avons une façon unique d’agir et d’exprimer ce talent. Notre but, notre dharma, c’est déjà de découvrir ce talent, puis de le mettre en action au service des autres.

Quand on arrive à faire rencontrer notre talent unique avec un besoin unique qui existe dans le monde et auquel on peut répondre grâce à notre talent, on a trouvé notre mission de vie, notre but, notre dharma.

Le grand Pourquoi de Simon Sinek

Si l’ayurveda ne te parle pas tant que ça, peut-être seras-tu plus réceptif.ve à cette deuxième approche, beaucoup plus moderne, développée et popularisée par Simon Sinek.

Cet auteur américano-britannique a développé le concept du « Pourquoi » avec son livre « Commencer par le Pourquoi » paru en 2009. Tu en as peut-être déjà entendu parler, notamment via son intervention TED qui est très populaire.

💡 Selon Simon Sinek, chaque individu ou groupe d’individus est régi par un grand «Pourquoi», une raison d’être, qui reste la même tout au long de la vie de cet individu ou groupe d’individus.

Nous avons tous une seule et unique raison profonde qui sous-tend notre parcours professionnel et personnel, qui fait que nous nous sentons à notre place lorsque nous sommes en accord avec cette raison, ou bien pas à notre place lorsque nous nous en éloignons.

Selon lui, ce pourquoi se construit souvent pendant l’enfance puis l’adolescence, et ce que nous vivons ensuite dépend de ce « câblage » initial – nous sommes attirés par ce qui va dans ce sens, repoussés par ce qui s’en éloigne.

A cette même époque de début 2023, mes collègues entrepreneures m’initiaient au concept du Pourquoi et m’aidaient à trouver le mien…

Une mission de vie logée dans le subconscient

C’est là que j’ai croisé Olivia, et c’était comme l’ingrédient qui me manquait pour trouver cette fameuse mission de vie.

Olivia est spécialisée dans le subconscient, c’est-à-dire la partie de notre cerveau qui regroupe les automatismes psychiques hérités de notre passé.

💡 Le subconscient est ce qui fait fonctionner notre corps sans que nous en ayons conscience : certains mouvements automatiques, la digestion, les réactions nerveuses du corps, les réflexes de peur, etc. Il correspond donc à nos instincts, nos habitudes acquises, nos pulsions, sans oublier nos intuitions et potentiellement… notre mission de vie !

Olivia, peux-tu nous en dire plus sur ton travail et ta spécialité ?

Olivia : Je suis coach spécialisée dans le subconscient. Le subconscient c’est la partie du cerveau qui renferme tous les mécanismes de défense face aux souffrances émotionnelles.

Mon cœur de métier c’est d’accompagner un retour à l’enfance pour comprendre ce qui s’est passé dans cette partie de l’esprit :

• pendant la grossesse,  
• l’enfance,
• et ensuite la vie adolescente,
• et la vie adulte,

pour savoir de quelle manière le subconscient influence la vie quotidienne aujourd’hui.

Chaque personne a développé des mécanismes différents en fonction de son passé, et a des «symptômes» différents vis-à-vis des expériences émotionnelles qu’elle a vécu dans le passé.

Il y a aussi l’idée, peut-être réconfortante, qu’il existe une force profonde au fond de nous qui nous pousse en avant et qui nous guide vers ce que nous sommes amenés à offrir aux autres.

Olivia : Le mot raison d’être me dérange un peu. J’aime beaucoup le terme mission de vie. Mais raison d’être, c’est un peu comme si on avait besoin d’une raison pour exister. Nous n’avons pas besoin de raison pour exister. On a besoin de quelque chose pour s’épanouir dans notre existence, mais on n’a pas besoin d’accéder à un droit d’exister. On l’a de par notre naissance.

Dans cet article nous parlerons donc de mission de vie, mais garde en tête qu’il y a de nombreuses façons d’aborder la chose. Dans mon expérience, ces points de vue complémentaires ont tous été utiles pour m’approcher, petit à petit, d’une meilleure connaissance de ma mission de vie.

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Un cheminement progressif

Peut-on réellement trouver sa mission de vie ? Est-ce qu’elle reste identique toute la vie ? Et si on n’a pas encore eu ce fameux déclic qui nous indique que nous sommes sur la bonne voie, on fait quoi ?

Il est important de noter que la zone qui régit notre mission de vie ne se situe pas au niveau du langage. C’est plutôt comme un mouvement, une sensation, quelque chose de plus profond.

💡 Pour exprimer ta mission de vie par des mots, cela aide d’utiliser une formulation sous la forme d’une action suivie d’un but : Je « … » pour « … ».

Mais ces mots sont plutôt utiles pour se reconnecter à la sensation physique qui nous anime.

Exemple pour moi : j’explore de nouveaux sentiers pour aider les personnes à gagner en liberté et en autonomie.

Pour Olivia : la manière dont je définis ma mission de vie, c’est d’accompagner chaque personne à se libérer des émotions refoulées de son passé pour accéder à une nouvelle façon d’exister où elle s’épanouir pleinement en étant alignée avec son moi intérieur.

Même si la mission de vie reste constante tout au long de notre vie, parce qu’elle a été construite relativement tôt dans l’enfance, on peut tout à fait réaliser notre mission de vie dans des métiers différents.

Connaître ce qui nous anime peut par contre nous aider à davantage nous épanouir dans nos différentes activités, à aller vers là où nous nous sentons bien, utiles, peu importe le travail ou l’activité en question.

Le socle commun

J’ai demandé à Olivia de nous parler de son parcours et c’est très intéressant la façon dont elle identifie un socle commun à ses différentes expériences.

Olivia : J’ai toujours été passionnée par le cerveau, par la puissance que renferme le cerveau vis-à-vis de l’infinité de possibilités que l’on a dans notre vie. Depuis mon adolescence, j’ai toujours consacré beaucoup de temps à comprendre pourquoi les gens se sentent de telle ou telle manière, à conseiller les gens etc. Et naturellement, toute ma vie, mes amis et ma famille venaient vers moi pour me confier des choses et pour me demander des conseils. Au fur et à mesure, par mes lectures, par mes apprentissages, mes études etc., j’ai développé beaucoup de connaissances là-dessus.

Il y a quelques années, j’ai décidé d’aller creuser plus en profondeur ces connaissances. Et donc j’ai démissionné (j’avais un travail d’ingénieur). Et je suis partie voyager pendant un an en Amérique du Sud où je me suis rendu compte que même des inconnus me demandaient toujours des conseils ! Quand je suis rentrée, je me suis installée un an en Espagne et il s’est passé exactement la même chose où les gens venaient me voir pour que je les aide à comprendre pourquoi ils se sentaient comme ils se sentaient.

Au fur et à mesure, j’ai développé une méthode qui est la mienne, je suis autodidacte. J’ai développé ma propre technique pour pouvoir accompagner les gens à comprendre comment leur passé influence leur présent et comment se libérer des émotions irrationnelles pour profiter pleinement du présent.

Affiner et évoluer

Au fil du temps, on commence à repérer ces éléments qui reviennent et qui nous guident mais on ne peut pas forcément les anticiper. C’est là toute l’importance du passage à l’action, des tests et des expérimentations car c’est seulement en regardant en arrière, après avoir vécu tout cela, que l’on peut commencer à identifier des lignes communes.

Olivia : Parce qu’avoir beaucoup de connaissances, c’est une chose, mais au début c’était un peu comme beaucoup de fils « emmêlés ». J’avais plein de connaissances, mais c’était tout emmêlé, il fallait que je fasse le tri, que je comprenne ce qui peut servir les autres et ce qui est superflu pour pouvoir avancer.

Et donc j’ai vraiment commencé à partir de rien du tout. J’ai même offert mes services au début gratuitement pour savoir vraiment comment je pouvais aider les autres. Depuis le premier que j’ai fait avec un inconnu, les appels se sont toujours extrêmement bien déroulé. C’est au fur et à mesure des tests, au fur et à mesure des consultations, que j’ai pu développer ma technique.

Ce n’est pas vraiment des choses que j’ai traversées, c’est plus une évolution. Une évolution qui était quasi logique, parce que je me suis rendu compte que j’avais les mêmes réflexes au fur et à mesure des appels pour pouvoir accompagner les personnes. J’ai vraiment trouvé un modèle général que je peux adapter à chaque consultation.

Et c’est ce modèle que j’ai récupéré, que j’ai perfectionné pour pouvoir optimiser les résultats que j’avais.

Ce n’est jamais terminé

Je rappelle aussi que le fait de « trouver sa mission de vie » n’est pas simplement une case à cocher sur une to-do liste. Ce n’est jamais terminé. Une fois qu’on a commencé à entrevoir un chemin, on le suit et on avance. C’est un chemin qui continue tout le temps, qui ne sera jamais vraiment fini. Ce n’est pas « je dois absolument arriver au bout », c’est un chemin qui continuera toute la vie.

Olivia : Exactement. Le vrai bonheur c’est ça, le vrai bonheur c’est la sérénité de l’esprit, parce qu’on sent qu’on est là où on doit être et on sent qu’on continue d’évoluer. Le propre de l’homme c’est d’évoluer. Donc on ne cherche pas à arriver à une fin, on ne cherche pas à être parfait, on cherche à continuer d’avancer et à s’épanouir pas à pas.

L’importance du passage à l’action

Ce qu’on observe dans le parcours d’Olivia, c’est qu’elle a beaucoup agit. Même quand on a des expériences qui nous semblent ne rien avoir en commun, elles participent toutes à développer des compétences et des connaissances qui souvent, nous seront utiles dans notre mission de vie.

Olivia : Il y a 15 ans, jamais je n’aurais cru que je serais capable d’être auto-entrepreneur, jamais je n’aurais cru que je serais capable de mettre des vidéos de moi sur les réseaux sociaux, parce qu’on se met en position extrêmement vulnérable lorsque l’on fait ça. Donc il y a eu un cheminement énorme.

Je pense que mon premier grand pas en avant, c’est quand je suis partie étudier aux États-Unis, parce que du coup j’ai tout laissé derrière moi et ça m’a permis de me rendre compte un peu plus de qui j’étais et de quoi j’étais capable.

Un deuxième pas en avant, c’est quand je suis partie neuf mois en Indonésie faire un stage et que j’ai commencé à encadrer des personnes. Quand on encadre des gens, on est obligé de s’affirmer, on a besoin que les gens nous fassent confiance.

Après j’ai énormément évolué aussi en Amérique du Sud parce que j’ai voyagé à sac à dos en solitaire et donc ça m’a permis de gagner en confiance en moi, de m’affranchir du regard des autres, de me fortifier et de me rendre compte que j’étais capable d’écrire ma propre histoire et de me libérer des lois de la société.

Une routine pour soutenir son cheminement

Enfin, une dernière chose qui peut être inspirante (si cela te parle), c’est de mettre en place une routine quotidienne pour soutenir ton cheminement. Cette routine, c’est l’occasion de prendre soin de soi de façon durable mais aussi (et surtout) c’est une façon de rester connecté à soi et à sa mission de vie, où que tu en sois dans ton cheminement.

Olivia : J’ai une routine matinale depuis des années pour pouvoir continuer d’évoluer. Comme on disait, c’est sans fin. Par exemple, en ce moment tous les matins je médite et je fais du sport. Et c’est ma routine matinale du moment. Elle me prend environ trois quarts d’heure, méditation et sport. Après ça m’est arrivé d’avoir des routines matinales qui duraient une heure voire une heure et demie. Ça m’est arrivé d’avoir des routines qui duraient 15 minutes. À chaque fois je les adapte à ce dont j’ai besoin de faire évoluer dans mon état d’esprit et dans mon quotidien. 

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Mon expérience avec Olivia

Si je voulais te parler d’Olivia dans cet article sur comment trouver sa mission de vie, c’est parce que j’ai eu la chance de bénéficier de sa précieuse analyse lors de ma propre recherche. J’ai très honnêtement été bluffée par son approche et par la rapidité avec laquelle elle a décortiqué mes propres mécanismes inconscients. Cela m’a énormément éclairé sur mes motivations intrinsèques. Et m’a permis d’être plus sûre de moi dans la tournure professionnelle que j’avais amorcé.

Que tu sois entrepreneur.e ou pas, et finalement quel que soit ton blocage actuel, tu peux trouver des réponses à travers une analyse de ton subconscient. Je laisse Olivia te parler de ce qu’elle propose dans la suite de l’article.

Comprendre son fonctionnement subconscient

Olivia : Le subconscient, c’est un mélange de mécanismes de défense. Il y en a qui sont adaptés, qui correspondent à qui nous sommes. Et il y en a qui ne sont pas adaptés et qui viennent des souffrances du passé, de notre perception du regard des autres.

Et donc mon but, c’est de libérer les gens de toute cette partie-là pour qu’ils puissent se sentir libres d’être eux-mêmes, de s’accepter tels qu’ils sont. La première étape, ce n’est pas d’être accepté par les autres, c’est d’être accepté par soi-même. Une fois qu’ils ont compris pourquoi ils sont comment ils sont, ça leur permet d’être beaucoup plus indulgents, de s’accepter, d’oser être eux-mêmes. Et de se rendre compte que le monde est prêt pour les accueillir tels qu’ils sont.

Apprendre à se pardonner pour pouvoir avancer

Une chose, c’est qu’on n’a pas le choix quant à notre passé. C’est-à-dire que l’on est né dans une famille, on a eu l’environnement qu’on a eu et ça a formé notre subconscient. Et je le dis encore, même pendant la grossesse, notre subconscient est impacté par les émotions que ressentent nos parents et même les émotions que ressentent les personnes qui entourent nos parents. Et là-dessus, on n’a aucun pouvoir.

J’aimerais que les personnes qui lisent ton article se rendent compte que c’est important d’être indulgentes envers qui elles sont, envers leur passé, parce qu’elles ont fait du mieux qu’elles ont pu avec ce qu’elles avaient dans les mains. Et même si elles ont fait des actions, des choix, des décisions qu’elles considèrent aujourd’hui comme des erreurs, au moment où elles ont pris cette décision, elles ont fait du mieux qu’elles ont pu. Elles ont pris la meilleure décision possible avec les connaissances qu’elles avaient.

Et au jour d’aujourd’hui où elles lisent cet article, où elles commencent à comprendre l’impact qu’a le subconscient, je les invite vraiment à aller creuser de ce côté-là pour voir si la cause de leur souffrance est bel et bien de leur responsabilité ou n’est pas de la responsabilité du subconscient, de leur subconscient, de la manière dont il a évolué.

Travailler avec lui plutôt que contre lui

Et dans ce cas-là, le but serait de travailler dessus pour pouvoir avancer, mais ne pas se culpabiliser pour ses manques de confiance en soi, pour ses incertitudes et ses doutes, pour des choses qu’on va dire aux autres parce qu’on sera sur la défensive et qui va faire souffrir les autres.

Si on fait souffrir les autres, c’est parce que nous-mêmes on souffre. Une personne qui souffre fait souffrir les autres.

Et donc il faut apprendre à se pardonner, à être indulgent envers soi-même et à accepter qu’on n’a pas tous les pouvoirs quand il s’agit de notre cerveau. Il faut aller creuser, comprendre pourquoi il a évolué de telle façon et se libérer de ce qui ne nous appartient pas.

Je veux vraiment que les gens se rendent compte qu’il faut faire la différence entre le passé et le présent. Le passé c’est réglé, il faut l’accepter. Et aujourd’hui, on a des décisions à prendre, il faut faire du mieux qu’on peut avec ce qu’on a dans les mains. 

Aller plus loin avec Olivia Nova

Pour aller plus en profondeur sur ces questions là, ce que je recommande déjà, c’est d’aller regarder sur Instagram où j’ai pas mal de vidéos. J’en poste beaucoup moins récemment parce que mon activité m’occupe plus, donc je favorise mes clients. Il y a quand même beaucoup de vidéos, ça permet de se familiariser avec ma vision de la vie et avec mon énergie, avec le type de personne que je suis parce que je ne suis pas adpatée à tout le monde forcément.

Ensuite, il y a un lien qui permet de faire un test sur le subconscient. Il y a un QCM d’abord qui amène à une vidéo et après il y a des questions ouvertes qui permettent d’aller plus loin dans sa réflexion sur soi-même. Là aussi, ça permet de voir un peu comment fonctionne son subconscient et de travailler en autonomie.

Ce qui est bien, c’est que dans ce test, les personnes peuvent aussi inscrire leur numéro de téléphone pour accéder à 15 minutes d’appel gratuit avec moi. Ces 15 minutes, ça permet de découvrir ma manière de travailler, de voir à quel point le subconscient impacte le quotidien parce que je donne déjà des réponses dans cet appel. On peut ainsi voir si le courant passe bien, s’il y a un bon feeling. Et surtout je peux vérifier que je suis la bonne personne pour celui ou celle qui me contacte.

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💡 Pour aller plus loin avec Olivia, tu peux la découvrir sur Instagram ou bien réaliser en ligne son test sur le subconscient afin d’apprendre à mieux te connaître.

Merci d’avoir parcouru cet article en duo avec nous. J’espère qu’il t’aura été utile dans ta recherche de ta mission de vie et que la rencontre avec Olivia Nova t’aura inspiré à mieux comprendre ton fonctionnement ! 

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